Les 3 soeurs... L'histoire commence ici

Je tiens tout d'abord à m'excuser aupré de Thrillia pour etre à l'initiative de ce post, mais ce qu'elle m'a envoyé est vraiment trop bon pour rester sur une page Word et n'etre lu que de quelques personnes.

Voici comment la plus petite de mes soeurs vecut le pire moment de notre enfance.

Citation :

Je vivais paisiblement avec mes parents Cixillus et Shinya Briatuus, et mes deux sœurs Odemia et Cixis, dans un hameau non loin de Pyr.

Ma grande sœur Odemia avait 13 ans à l’époque, Cixis et moi en avions 10. Cixis est ma jumelle, mais les deux « grandes » aiment dire que je suis la petite dernière parce que je suis née seulement quelques minutes après Cixis…

"Petite Cixis, avec les garçons, n’a jamais été une tendre"
"Odemia prenait déjà son rôle de grande sœur très à cœur,"
"On pouvait compter sur elle lorsqu’il s’agissait de nous défendre"
"Et aujourd’hui rien n’a changé d’ailleurs ! "

Finalement, tout allait bien dans le « meilleur » des mondes. Nous étions heureuses.

Comme je le disais nous vivions en paix, loin des guerres contre les Kitins et autres conflits inter-races et religions…jusqu’au jour où notre destin fût scellé.

C’était par un bel après-midi de printemps, les dunes étaient comme à leur habitude belles et ensoleillées, nous jouions toutes les trois derrière l’une d’elle non loin de notre maison.
Odemia s’était confectionnée une épée de médiocre qualité et nous partions en guerre contre la « Menace Yubo » comme on aimait le dire.
Et oui…nous étions en quelques sortes des garçons manqués, nous aimions nous battre, mais c’était jusqu’à présent seulement un jeu…


C’était un jeu qui, sans le savoir, nous préparait à devenir des guerrières.


Peu de temps après avoir simulé une attaque de milliers de Yubos sur Pyr, nous entendîmes des hurlements provenant de notre hameau.
Ces cris, je ne les oublierai jamais.
Odemia partit en courant au sommet de la dune, Cixis et moi à sa suite.


L’horreur emplit nos yeux.


Nous avons vu…si jeunes, des dizaines de Kinchers, ou bien était-ce des Kipuckas...je ne sais plus…nous étions si jeunes…nos parents…nos amis…nous ne pouvions rien faire…que regarder, horrifiées…soudain Cixis arracha l’épée des mains de Odemia et courut jusqu'à notre maison en pleurant…nous étions si jeunes…….Odemia tenta de l’arrêter mais en vain, c’est à ce moment que je pris la décision de les suivre et de mourir pour ma famille.

En arrivant je vis des corps inertes et des mares de sang partout…mais ma principale préoccupation ne fut pas les corps…je voulais me venger, tuer toutes ces bêtes assoiffées de sang mais…..

…nous étions trois…trois petites filles innocentes…armée d’une épée émoussée face à une horde de Kitins.
Ils nous encerclèrent.
Ils étaient incroyablement grands.
Nous étions incroyablement terrifiées.
L’un d’eux s’avança jusqu’à nous.
Il me fixa.
Il s’inclina.
Je ressentis en lui un sentiment de haine mêlé de pitié…
Il se tourna vers ses congénères et lança un hurlement sourd qui me fit frémir.


A cet instant je compris qu’ils nous laisseraient la vie sauve...qu’ils nous laissaient une chance de vivre, de grandir, de nous venger de nos parents disparus…assassinés.


Et ils s’en allèrent, laissant derrière eux la mort et trois enfants à leur désespoir. Désespoir qui ne tarda pas à se transformer en une haine incommensurable.



Plus tard, en allant à Pyr pour annoncer cette horrible attaque, nous apprîmes que la horde en question avait tenté une invasion sur notre belle ville. Les Kitins avaient été décimés par notre garde.

Nous avons été recueillies par une famille à Pyr, où nous avons grandit et appris tout le bien qu’une simple poésie pouvait nous procurer tout en nous préparant au combat que nous savions désormais inévitable.

Et chaque jour se faisant, nous devenions plus fortes…nous nous préparions à la guerre, à notre guerre.

Maintenant, nous sommes prêtes...
Maintenant, le temps est venu de se prouver que nous n’avons pas survécues pour rien…

Aujourd’hui, les Kitins PAIERONT.


Thrillia.

Bravo soeurette
je m'y colle aussi et vais faire une partie...

Bravoooo !!!


J'adoore !

Encore, encore ! la suite est pour bientôt ?

Elle arrive, je m'y met des que j'ai un peu de temps a moi et c'est donc pas pour desuite... suis un peu débordée...

Cixis lance toi si ca te dit, je ferai selon...

A trés plus ig les ombres... vous me manquez deja!

C'est vrai que c'est super ! Bravo Thrillia *s'incline*

Mici...mais ce n'est que l'histoire de notre vie...rien n'est imaginé
nous avons vécu l'un des pires moments de notre vie ! :/

Cool j'ai trouvé des copines de Kitins pour jouer hihi

J’ouvrais les yeux brusquement, scrutais les alentours pour voir où je me trouvais et pour vérifier la présence de mes sœurs. Elles étaient là, à coté de moi, dormant d’un sommeil profond.

Je soupirais de soulagement et refermais les yeux un cours instant. Il n’était plus temps de dormir, une matinée comme les autres venait de commencer.

Il faisait encore frais dans la petite chambre… le soleil brûlant du désert commencer à pointer à l’horizon et l’air ambiant se réchauffait rapidement.

Je m’asseyais sur le bord du lit, me dégageant doucement du bras que Thrillia avait mis autour de ma taille pour le reposer doucement sur le lit. Cixis sembla émettre un grognement, sans doute réveillée par mes mouvements et se tourna vers sa sœur assoupie. Elles semblaient si paisibles, si tranquilles, je ne voulais pas les réveiller.

J’étais déjà en sueur, comme tous les matins depuis maintenant près d’un an… Ce rêve… toujours le même rêve… m’obsédait toutes les nuits. Pouvais-je seulement appeler cela un rêve ? Le terme cauchemar était sans doute plus approprié mais était-il vraiment possible de faire des cauchemars toutes les nuits ? Je me persuadais du contraire et tentais de penser à autre chose. Je me devais de laisser de coté mes tourments et mes inquiétudes, ne serai-ce que pour mes sœurs, pour les rassurer et leur donner l’impression que tout allait bien et que tout irait bien.

Je me levais, m’étirant lentement en faisant craquer la moindre de mes vertèbres. Qu’allé-je bien pouvoir faire aujourd’hui ? Le nombre de taches était si grand que je ne savais par où commencer. Mes pensées prirent le dessus sur mes initiatives et je m'adossais au mur de la chambre en les obervant pour reflechir.

Le cauchemar de cette nuit était encore pire qu’à l’habitude et tout mon corps semblait l’avoir vécu comme la première fois. Les sentiments de terreur et de haine se mêlaient en moi alors que j’y repensais. J’aurais pu l’éviter… J’aurais du l’éviter… Je ne pouvais m’empêcher d’y songer et cela faisait naître en moi des désirs de vengeance mêlés à de profonds regrets.

Les matins se ressemblaient de plus en plus, aussitôt que je me retrouvais seule, les mêmes interrogations et préoccupations me revenaient en tête… Comment les protéger ? Je ne serai pas toujours la… il me faut prendre en main leur avenir… Il peut m’arriver n’importe quoi… Que feront-elles ? La mort de nos parents nous avait soudé, uni à jamais, nous avions besoin les unes des autres et le savions toutes. Mais elles étaient encore des enfants, tout juste âgées de 11 ans et insouciante comme les enfants de leur age. Certes elles avaient grandi et brutalement il y a de ça un an lorsque, bien malgré nous, nous nous retrouvâmes seules. Mais elles ne pensaient plus à cette époques et en avaient fait leur deuil, du moins c’est l’impression qu’elles me donnaient, Peut-être cherchent-elles à me rassurer ? Cela n’était pas forcement le cas mais je me devais de leur cacher…Il me fallait prendre une décision, bien qu’elles soient trop jeunes pour se débrouiller seules, je savais pertinemment que le jour viendrait ou je devrais partir, acquérir de l’expérience et apprendre à combattre pour les défendre contre ces monstres.

Elles comptais sur moi, j’en étais persuadée, me croyais grande et forte, de taille à combattre et à venger nos parents. C’était en fait faux, je n’étais qu’une frêle jeune fille, sachant tout juste manier une épée mais je cherchais à conserver cette image qu’elles avaient de moi, et ce pour les rassurer.

Elles étaient jeunes, trop jeunes pour que je puisse les abandonner mais ce jour viendrai et je me devais de leur dire… Qu’elles puissent s’y préparer et se faire à cette idée. Je ne savais combien de temps nous serions séparés et si j’en aurais la force mais une chose était sure : c’était inévitable. Même en retournant le problème dans tous les sens, seule cette solution s’offrait à moi. Ma décision était prise, je devais partir pour m’endurcir, préparer leur arrivée. Un nouveau flot de questions m’assaillit, Quand partir ? Comment leur annoncer ? Ne se sentiront-elles pas abandonnées encore une fois ? Je décidais d’attendre, au moins jusqu’a leur quatorzième anniversaire, elles seraient déjà plus fortes et comprendront, je l’espère, mieux ma décision.

Elles se reveillaient et la journée commencait pour de bon...


To be continued

Odemia

ihihihih

la suite la suite

Tres agreable a lire, les soeurs de l'Ombre

il y en a du talent dans ces textes

Amitiés

Ouaiiiis ! Encore, encore ! Mmmmh, je me trompe, ou il nous manque le point de vue d'une des trois soeurettes ?
Enfin, j'dis ça j'dis rien, hein !

GG en tout cas !

tout vient à point à qui sait attendre mon amie

Il était déjà tard et l’heure d’aller se coucher approchait. Assise devant la maison, je regardais mes sœurs jouer, insouciantes et si pleines de vie. Elles venaient de fêter leur quatorzième anniversaire et savouraient pleinement les dernières heures de cette journée si importante. Elles ne se doutaient pas à quel point. En effet, mon départ était prévu pour le lendemain à l’aube.

Je leur avais tout appris, tout ce que je savais, tout ce dont elles avaient besoin pour survivre. Notre avenir était tracé depuis déjà longtemps mais elles l’ignoraient encore. Je m’étais rendu compte depuis déjà un long moment qu’elles étaient capable de se débrouiller seules, Thrillia avait bien grandi, plus vite que sa sœur et avait prit conscience de beaucoup de choses. Peut être trop d’ailleurs, son tempérament s’était affirmé et celle-ci débordait d’énergie. Elle était cependant un peu trop téméraire et avait une fâcheuse tendance à se croire invincible. Quelques malheureuses expériences lui avait déjà démontré que ce n’était pas le cas mais elle conservait cependant ce tempérament fougueux et plein d’entrain. Cixis quand a elle s’était plus renfermée sur elle-même, elle intériorisait beaucoup de choses et parlait beaucoup moins que sa sœur. Les deux se complétait vraiment bien, Cixis calmant les excès de sa sœur et Thrillia n’hésitant pas à prendre des initiatives même périlleuses.

Me servant du prétexte de leur anniversaire, j’en profitait pour les équiper matériellement de tout ce dont elles pourraient avoir besoin. Des vêtements, certes de piètre facture mais suffisants pour les vêtir, des armures à leur taille, fabriquées grâce à des écorces d’arbres et de laines d’animaux dépecés. Bien que de mauvaise qualité, j’espérais qu’elles les protégeraient au mieux. Le choix des armes offertes pour leur anniversaire me laissa perplexe, en effet Cixis qui plus réservée et cherchant plus à éviter le combat aurai été parfaite dans l’apprentissage de la magie, se découvrit faite pour le combat de mêlée à l’épée et s’empara très naturellement de l’arme confectionnée pour sa soeur. Tandis que Thrillia se jeta comme émerveillée sur des amplificateurs magiques destinés initialement à sa sœur.

J’étais consciente qu’offrir des armes à de jeunes filles inexpérimentées n’était pas l’idée la plus lumineuse que j’eu, mais elle était nécessaire. Lors de l’ouverture des cadeaux, Thrillia sautillait de tout coté, la chipie avait peu avant son anniversaire, découvert la cachette ou j’avais entreposé ses présents et connaissait donc leurs contenu. Même si ils ne valaient rien, je savais qu’elle était heureuse, heureuse de pouvoir entreprendre l’apprentissage du combat et heureuse de la signification de ses cadeaux : elle en avait ma permission. Cixis quand à elle afficha une satisfaction plus modérée, elle semblait avoir trouvé une tout autre signification aux cadeaux qu’elle avait reçu. Elle avait raison mais je ne trouvais pas le courage de le lui avouer. Elle se contenta de déballer ses cadeaux et de m’étreindre très fortement pour me remercier. Son regard en disait long… elle savait… elle avait compris…cela devenait une certitude…

Que devais-je faire ? Lui confirmer la situation ? Elle répondit d’elle-même à cette question en me prenant par les épaules et en me souriant tendrement. Elle me regardait fixement, son petit sourire figé sur les lèvres. Je ne savais plus que faire ou dire… je sentis un profond sentiment de doute m’envahir. Toutes les décisions prises jusqu'à lors se bousculaient dans ma tête et revenaient chargées de doutes. Cixis m’enlaça alors tendrement, me serrant fort contre sa poitrine et me murmura à l’oreille « Je lui expliquerai ». Je restais bouche bé, cette démonstration de perspicacité et de maturité me montrait bien qu’elles étaient prêtes. Le passé nous avait, certes, joué des tours et nous avait procuré d’atroces moments mais je me rendais compte aujourd’hui qu’il avait porté ses fruits. Je la remerciais du plus profond de mon être pour cette preuve d’amour. Elle avait su lire en moi et comprendre les raisons motivant mon choix, même si celui-ci n’était pas fait de gaieté de cœur.

Thrillia nous aperçu et se détourna rapidement du yubo qu’elle venait d’enraciner pour se jeter sur nous et nous enlacer de toutes ses forces. Elles me couvrirent de baisers. Je ne sais combien de temps dura ce moment mais il m’apparut une éternité, nous étions là, réunies pour ce qui pouvait être la dernière fois. Ce souvenir reste aujourd’hui encore encré au plus profond de mon être.

Cixis prit sa sœur par la main et lui dit d’une voie rassurante mais ferme « Viens, il est tard et demain est un tout nouveau jour, allons nous coucher ». Thrillia s’exécuta sans répondre et suivit sa sœur à l’intérieur.

Cette nuit la ne fut agitée d'aucun cauchemars comme à mon habitude et fut l’une des plus paisible qu’il me fut donner l’occasion de passer. Merci mes sœurs.

To be continued

Odemia

Bon desolé mais je peux pas m'empecher de devoiler un peu la suite... c'est trop prenant!!!

J'espere que ca vous plait.

Et tu as raison Tinu... Cixis au boulot!!!! t'es à la traine!

odemia a écrit:

J'espere que ca vous plait.

Ouiiiii !!!!!

"Désolée" ? Ben il faut pas !

Continue, continuez ! (hein Cixis ?)

Pas de doutes, on a des talents dans la guilde J'attends la suite également.

Ainsi que la suite du blog de Tinu

ihihi trop bien ! il est temps pour moi de reprendre le fil de mon histoire perso je crois...le décor est planté, voilà qui est fait, bj Odemia


[EDIT: en fait non je dois attendre encore un pitit peu...]

Arf, je vais devoir m'y mettre sinon je vais me faire lincher

Je vous premet rien (car j'ai du taff irl qui m'occupe pas mal ces temps ci), mais je vais essai de faire quelque chose d'ici peu.

Où suis-je ? ... Suis-je morte ? ... Je regardai à l'horizon et j'apercevais le soleil se coucher, un soleil rouge dont les rayons percaient les quelques nuages sillonnant le ciel.

Rouge, tout était rouge sang autour de moi, je reprenais mes esprits après le vain assaut que nous avions porté sur la horde Kitine. Les monstres nous avaient laissés la vie sauf, et ce pour une raison qui m'est toujours inconnue.


« Nous étions seules et sanglotantes
Seules dans une mare de sang,
Jeunes et rayonnantes,
Maintenant seules sans nos parents. »



J’étais allongée dans le sang : arrivée près des Kitins, j’avais trébuché sur un corps. A peine remise de ma chute...je regardai autour de moi et cherchai mes sœurs... j'aperçus Thrillia debout... tétanisée de peur ...son regard était vide...glacé.
Puis Odemia me prit par la main et me releva...de mes cheveux coulaient du sang, mon visage était rouge...mais je ne pus faire le moindre geste...elle m’emmena auprès de notre petite sœur qui tremblait. Nous sommes restées ainsi un cour instant, mais je ne sais pourquoi cela me parut une éternité.
Je repris petit à petit mes esprits, et m'essuyai la figure. C'est à ce moment que j'aperçus Papa et Maman main dans la main…unis même dans la mort...à cette instant je sentis quelque chose se briser en moi, un sentiment profond et indescriptible, le sentiment que plus rien ne serait jamais comme avant.

Sans dire un mot, Odemia m'emmena au puit afin d'enlever le sang qui recouvrait la quasi-totalité de mon corps. Elle remonta un saut, me le versa sur la tête, et frotta mes cheveux afin de retrouver mon brun d'origine.
Le sang coulait…Odemia frottait…encore et encore…
Thrillia s’avança et nous dit d’arrêter, elle nous dit de revenir à la réalité des choses, que nous devions faire face à notre destin ; que nos parents étaient morts et qu’ils ne reviendraient pas. Ses mots étaient durs mais elle s’arrêta de parler, stupéfaite. Odemia ne frottait plus. Elles me fixaient toutes les deux…je pris une mèche de cheveux dans ma main, et malgré les efforts de ma grande sœur, ils étaient encore rouge. Je compris alors que mes cheveux étaient imprégnés de sang…le sang de mes parents…et qu’il ne partirait jamais.

« Papa, maman, mes cheveux seront le symbole de notre vengeance. »


Plus tard nous décidâmes finalement de partir pour Pyr, Thrillia, Odemia et moi, afin de trouver de l'aide.
Mais avant de partir et de quitter définitivement notre maison natale, je me retournai et jetai un dernier coup d'oeil sur notre passé...puis je regardai à l'horizon ...le soleil était rouge...quelle ironie.




Cixis

Bravo Cixis

ouais bravo, c'est trop bien écrit en plus !

Bien joué soeurette

Ca valait le coup d'attendre...

Enchaine maintenant!

tres beau récit, Cixis, terrible mais tres bien écrit

ouais aller la suite !!

t'arrêtes pas en si bon chemin

tss la brusquez pas, faut du temps pour faire un best-seller